• Voici une chanson que j'ai écrite en me basant sur les mots qui m'ont été donnés... (Voir facebook https://www.facebook.com/maxime.roy.33/posts/593494367360395) C'est l'histoire d'un homme qui marche, dans la rue, en penssant à ses vieux souvenirs de bonheur et de sa bien aimé. Il se rapelle à qu'elle point il l'aimait, comme ils étaient près et même les plats qu'elle lui préparait. Finalement, il est triste parce cet amour n'existe plus et qu'il croit que sa vie est fichue. (Un peu tirée par les cheveux et une fin sur la peau des fesses.) Alors voici la chanson (Le fichier audio se trouve joint à cet article, à la fin):

     

     

    Le leur n’était pas pour toujours

     

    (Capo VIII)

    Am         C             Em         G

    Dans la rue,

    Le polisson déambulait,

    Portant un air patibulaire,

    Personne vraiment ne s’en souciait,

    Et il marchait tout en douceur.

    De ses pas lents, sans ambition,

    Aussi rapide qu’un éclopé,

    Un vanupied sans direction,

    La route semblait tergiverser.

     

    F             C             G            Am

    F             C             E

    Porté par le vent de la réflexion,

    Rongé d’un esprit mélancolique,

    Quelques souvenirs parmi l’oubli,

    Il n’y voit qu’un embrouillamini.

    Il se pose beaucoup de questions,

    Et trouve qu’il est pathétique,

    Il est perdu et égaré,

    Dans l’amphigouri de ses pensées.

     

    Alors,

    Le bon vieux temps lui revenait,

    Mémoires de son concubinage,

    Vraiment, les tourtereaux s’aimaient,

    Mais tout est parti tel un mirage.

    Elle lui faisait son cassoulet,

    Il ouvrait les pétoncles pour lui trouver une perle,

    Un mousqueton d’amour les accrochaient,

    L’un à l’autre pour toujours, la vie était belle.

    [Refrain]

    Maintenant, tout ça est révolu,

     il est un Bruce Banner sans ses pouvoirs

    Le sens de sa vie est saugrenu,

    À son cœur, il a cessé de croire,

    Perdu comme une balle sur un terrain de golf,

    Il se sent devenir un rhinocéros,

    Retenu en cage, mais bien féroce,

    Privé d’utiliser sa force.

    [Refrain]

    Le cœur gros comme un pamplemousse,

    Le jeune garçon se cache au fond,

    Avec la poussière et les vieux poulpes,

    À la vie, maintenant il dit non,

    Comme une tondeuse qui rase l’amour, 

    Le leur n’était pas pour toujours.


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  • Voici un texte que j'ai écris pour la fête des mères... un évènement que l'on ne doit pas oublier... XD

    Alors, le voici et, ceux qui le lisent, laissez vos commentaires SVP! :)

     

    Une larme de vie 

     

    La vie n’est pas toujours facile,

    Nos cœurs se remplissent parfois beaucoup,

    La lâcheté n’obéit qu’à la facilité,

    La vie est pour les forts, la vie est pour nous.

     

    Un cœur lourd est un cœur rempli,

    Quand les larmes coulent, c’est qu’il y a de l’amour,

    Oui, l’amour apporte les conflits,

    Mais le beau temps suivra la pluie.

     

    Si on vie, c’est pour aimer,

    Pour aimer les autres et s’aimer soi-même,

    Pour aimer la vie et aimer aimer,

    Pour qu’à son tour la vie nous aime.

     

    Je crois qu’on ne pense pas tous pareil,

    Et Dieu seul sait en quoi chacun peut croire,

    Mais merci pour ces différences,

    Sans elles, notre monde serait dérisoire.

     

    L’amour, Maman, est un sentiment,

    Un sentiment que j’ai pour toi,

    Mais l’amour est comme le vent,

    Regarde les feuilles, pas les grosses branches.

     

    Si c’était si évident,

    Main dans la main, l’humanité entière,

    Aurait cessé, depuis longtemps,

    De chanter ce refrain qu’est la guerre.

     

    Mais la chanson de la vie,

    Transporte un message, je te le dis,

    Voici les couplets qui le livre,

    Une vie d’amour, l’amour de vivre :

     

    La vie n’est pas toujours facile,

    Nos cœurs se remplissent parfois beaucoup,

    C’est parce que l’amour est difficile,

    Qu’on en perd souvent des bouts.

     

    Un cœur lourd est un cœur rempli,

    Quand les larmes coulent, c’est qu’il y a de l’amour,

    Un cœur vide est un cœur sans vie,

    Nous pleurons tous, nous aussi.

     

                    On a parfois du mal à réaliser à quel point on aime quelqu’un, mais c’est encore plus dur de réaliser à quel point un autre nous aime. Personne n’est parfait... tant mieux! Personne n’est nul... tant mieux! Chaque personne est différente, dans l’agissement et dans la perception. Il y aura toujours des différents, des choses qui ne changent pas et des personnes qui ne s’aiment pas. La clé de la vie, je crois, c’est d’apprécier le monde pour mieux le mouler et apprendre à s’y mouler. Des larmes sont versées régulièrement : des larmes de nostalgie, de tristesse et de rage; des larmes de joie, d’amour et de bonheur; puis des larmes qu’on arrive jamais à situer. Si en ce moment ta joue porte une larme, j’aimerais que tu la consacre à la vie, aux vieux souvenirs, aux moments difficiles, aux chicanes sans issue, mais aussi aux sourires éphémères, aux cœurs palpitants et à l’état qu’est le bonheur. Si tu ne dédie pas cette larme à cet ensemble que tu connais probablement mieux que moi qu’est la vie, moi je l’ai fait, le fait et le ferai jusqu’à la fin de mes jours. Versons une larme tous ensemble et offrons la à la vie pour que cette dernière  pleure aussi pour nous. Ouvrons nos cœurs et accueillons la larme de vie...

     

    Le bonheur est un choix.

     

    - Maxime


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  •  

    Primo, l’argent ne fait pas les résultats. Un docteur mieux payé sauve-t-il plus de vie. Un pompier mieux payé éteint-il un feu plus rapidement? Un cuisinier plus riche fait-il de meilleurs repas? Je ne crois pas. Malheureusement, de nos jour, la plupart des gens font leur métier pour assurer à leur famille et eux-mêmes d’avoir un logement, de la nourriture, des vêtements et de pouvoir investir dans le loisir... et c’est normal. Mais en conséquence de cette vision du travail, le but de chacun d’avoir un métier n’est généralement plus celui de contribuer à l’avancement des différents domaines de recherche et de développement, ou simplement celui d’assurer la survie humaine par le comble des besoins du vivant. Par contre l’argent, dans notre société, est ce que nous récoltons en travaillant et ce dont nous avons besoin pour vivre au sain de notre société. J’en conviens donc qu’avec de meilleures finances, chaque individu, incluant les enseignants, peut profiter de plus de temps pour s’investir dans son métier car il a donc les moyens d’éviter de mettre du temps dans d’autres tâches. Je crois tout de même qu’un meilleur salaire n’améliorera pas le travail des professeurs car ils devraient déjà tous, dans le meilleur des mondes, donner leur maximum peut importe le salaire. Selon moi, ce principe s’applique à tout les métiers, surtout « qu’il n’y a pas de sots métiers. »

     

    Secundo, venant de la part de quelqu’un qui croit que l’argent ou que tout système d’échange lucratif n’a pas sa place dans notre monde, il est normal que je trouve que nous oublions trop le vrai objectif d’exercer un métier. Selon moi, les choses devraient être comme suit : M. Fermier travaille à la ferme. M. Boulanger travaille à la boulangerie. (Vous comprenez le système des noms.) M. Fermier donne ce qu’il obtient de son moulin à M. Boulanger. Ce dernier reçoit de la même manière les ressources qui lui sont nécessaires pour faire du pain de la part des autres individus exerçant les travails correspondants. Chacun d’eux ne se pleind point de ne pas être payer car M. Boulanger envoi son pain à M. Épicier qui le redistribue parmi chaque autre personne mentionnée plus tôt et en garde sa part aussi, évidement. Simple et basique, niveau suivant : M. Constructeur bâtit des maisons. Peut importe le métier de chacun, il fait son travail pour eux tant que 1. les exigences de chacun respectent des normes écologiques, ne surpassant pas trop les besoins de ceux-ci, et 2. qu’il continue à recevoir son pain. Dernier niveau amené : M. Enseignant dispose d’une maison et de nourriture. Pour que chaque personne précédentes puissent exercer leur rôle dans la chaine des échanges, M. Enseignant à suivis chacun deux dans leur parcours académique et enseigne à leurs enfants et aux siens les divers métiers nécessaires et utiles à l’avancement des différents domaines de recherche et de développement, ainsi qu’à, simplement, celui de la survie humaine par le comble des besoins du vivant. Jouant tous un rôle, les individus de la société exerce leur métier dans un but différent qu’aujourd’hui, ils font leur travail non seulement pour eux-mêmes, mais également pour chaque autre personne qui se charge de leur survie, de leurs loisirs et de leur éducation. Pour que nous n’ayons pas à exiger de meilleurs résultats de la part des enseignants (non pas que je pense que nous devrions) ou de tout autre personne exerçant une profession, nous devons changer le fonctionnement des choses commençant par l’économie, suivi par la politique puis les aspects sociaux. Travailler n’est pas un fardeau, c’est une contribution.

     


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  • Depuis déjà quelques années, les milieux scolaires du primaire et du secondaire tentent de diriger leurs élèves, les jeunes d'aujourd'hui, les grands de demain, vers une alimentation plus saine. Les cas sont divers: certains appliquent déjà ces notions de santé sous un motif personnel ou en suivant les habitudes transmises par leurs parents tandis que d'autres se nourrissent presque essentiellement de malbouffe, même à l'école. Le devoir de l'éducation est de nous diriger vers un mode de vie de bons citoyens, et la santé y est un aspect important. Par contre, est-il vraiment le rôle de l'école d'imposer des règles tant qu'à la qualité de ce que nous mangeons? Ne serait-il pas mieux de cesser simplement de vendre de la malbouffe dans les milieux scolaires, comme plusieurs écoles l'ont fait, et d'augmenter la sensibilisation des jeunes envers le sujet de la nutrition? Je crois que d'imposer une chose par des restrictions qui nous pousse, dans les pires cas, à faire les choses sans se faire prendre, n'aura jamais le même succès, ou du moins, un aussi bon impact que le fait de donner goût à cette chose par la valorisation pour que nous même, les grands de demain, enseignons ses notions à nos propres enfants.


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  • Un blog, mais quelle bonne idée... Je ne cèsse d'écrire, d'écrire et d'écrire des textes d'opinions, de philosophie, d'histoires et de niaiseries, j'aurai enfin un endroit virtuel pour faire lire mes écrits à de personnes réelles, du moins, je l'èspere... :)


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